Apparemment, Nicole Ferroni ne sait pas ce que fait Technologia. Ce matin dans sa chronique sur France Inter, elle évoque les « rustines » que l’on met un peu partout, notamment ces rustines psychologiques pour réparer les salariés. A ce sujet, elle cite Technologia comme un vendeur de « rustines ». Le billet de Nicolle Ferroni est exquis, drôle et finement écrit mais nous ne nous y reconnaissons pas. Elle met en scène Monique qui rate son cours de Zumba pour apprendre à s’auto-dépister afin de savoir si elle est suicidaire et à se mettre sous l’eau pour voir si elle fuit et si n’aurait pas besoin d’une rustine … Visiblement, ce n’est pas Technologia que l’entreprise de Monique a sollicité. S’il arrive trop souvent que Technologia intervienne en cas de crise, notre métier reste la prévention. Nous ne cherchons pas à dépister les fragilités des salariés et voir là où ils « fuient » mais à comprendre comment l’organisation du travail a pu les rendre fragiles. Désolé Nicole, nous ne vendons pas de rustines.